Reprendre le chemin de la solitude, celle du quotidien sale, usé, celle dont on ne veut plus.
Il faut encore supporter les mêmes chemins, partager ses bactéries avec les autres. La foule, sans remède à la solitude existentielle.
Quotidien, même routine, les rails qui filent. Le transit permanent, barres d’immeubles en construction. Des bâtiments coupés nets. Cette laide beauté, la poésie partout dans les friches industrielles.
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